Adore : ses sœurs, Paris et le nord de l'Italie, l’art du spectacle, la poésie, les expositions de photographie, l’astrologie et l’astronomie, les levers de soleil, la saison du sphinx, son parfum, l’odeur de ses cigarettes et de son rouge à lèvres, le chocolat, la couleur rouge & les bouquets de roses.

Déteste : qu’on lui rappelle qu’elle est née roturière, avoir perdu sa passion pour la danse, la saison du ciseburine et cette foutue nostalgie qu'elle lui provoque, les journaux & les cosmétiques bon marché.

Passe-temps : flâner dans les rues de Paris, faire les magasins, assister à des représentations en tout genre, libérer ses souffrances à l’écrit, jouer aux échecs, étudier des cartes astrales, observer les étoiles, se lever tôt pour aller voir le soleil se lever, fumer, savourer une boisson dans un salon de thé ou un café (souvent un chocogrenouille chaud) & partager un lit.

Lieux fréquentés : la grande galerie, sa salle de classe, le salon de thé, le boudoir de madame Chegaray, l’observatoire, ses appartements privés, Naille-Haute, Paris & le nord de l'Italie.

✧ tableau pinterest

Inventaire :
• Une fausse baguette qui disparaît après un sort lancé
Crédit : thefmd

En vrac :
elle porte toujours du parfum, et si par inadvertance elle oublie de se parfumer un matin, elle peut être de mauvaise humeur pour le reste de la journée • elle possède une grande collection d'appareils photos, héritage de son défunt mari • l'amortentia a pour elle l'odeur du tabac et du maquillage de luxe, ainsi que l'effluve légèrement acide et piquante des produits chimiques utilisés dans le procédé de développement des photographies • son patronus est un papillon depuis la perte de son bien-aimé. Elle le chérit avec une pointe d’amertume, car bien qu’il ait été autrefois son patronus à lui, il lui rappelle inévitablement que tout est éphémère. Avant cela, c'était une panthère noire.


Le parfum d’Aurore s’ouvre sur une danse élégante avec la fraicheur voluptueuse  et envoûtante de la rose rouge. S’y ajoute la fragrance gourmande et dorée du miel, dimension chaude et sucrée qui évoque le soleil, complétée par l’alliance sensuelle et sophistiquée de la myrrhe et de ses notes légèrement épicées et fumées, apportant une richesse résineuse et une profondeur mystique à cette union parfumée.

Margaux Lebarde - étoiles jumelles
uc.

Crédit : twelveedits

Pauline Lebarde - petite sœur (scénario)
Aurore aime ses sœurs d’un amour infini, où même le côté parfois trop moralisateur de Pauline ne saurait altérer l’affection qu’elle lui porte. Bien que leurs rapports à la clairstellance divergent, provoquant parfois quelques conflits, leurs tendres souvenirs d’enfance demeurent tels des liens immortels, tissants une relation belle et solide qu’elles chérissent avec une intensité partagée.

Crédit : barrowedits

Laura Lebarde - plus jeune sœur (scénario à venir)
uc.

Crédit : ifsbrinas

Achille - roses are red, Adonis is dead
Elle avait trouvé l’amour au fil de ses années d’études, une flamme qui s’était embrasée avec la délicatesse d’une étoile naissante ; tendre romance guidée vers un mariage ayant tissé deux vies dans une étreinte ardente. Mais c’est avec une cruauté violente qu’en avril 1950, le destin lui arracha son bien-aimé, laissant ainsi dans son sillage une veuve éplorée et dévastée. Dix ans d’amour envolés en un instant, ne restant désormais plus qu’une tombe à fleurir et des regrets murmurés à un souvenir qui résonnera pour l’éternité.

Crédit : thejennire

Adrien Renard - entre l'amour et la haine
Une tempête émotionnelle intense et dévastatrice, des vagues d’abandon douloureuses et difficiles d’acceptation ; déclenchement de conflits intérieurs imprégnants irrémédiablement l'humeur. Agressivité et haine s’entremêlent au milieu de l’amour. Entre le désir et la culpabilité, elle ériges des remparts – barrières qu’elle aspire elle-même à briser. Oscillant entre l’éloignement et la douce torture de la nostalgie, Aurore cherche un équilibre fugace à cette relation tourmentée.

Crédit : vyvy

Lysandre de Lanzac - danse éphémère d'une nuit d'hiver
Décembre 1952. Étreinte crépusculaire de deux âmes meurtries, confondues et consumées par une passion brûlante et sensuelle le temps d’une nuit. Une danse sans amour au cœur des volutes de fumées et des soupirs désordonnés – symphonie de plaisirs éphémères. Pas de promesses, seulement une compréhension mutuelle physique et muette ; refuge temporaire face à un destin bien trop cruel. Une parenthèse fugace devant rester secrète pour la nouvelle professeure d’Astrologie.

Crédit : vasguett

Poppy Grimsbane - fervente admiratrice
Autrefois spectatrice des représentations gracieuses de la célèbre danseuse, Poppy la submerge à présent d’une curiosité insatiable ; exploration d’une existence figée dans le passé. Un flot de paroles et de questions qui remonte le cours du temps – vestiges d’une flamme éteinte depuis longtemps. Il est difficile de faire comprendre à l'élève du feu que cette carrière déchue est mieux laissée dans l’oubli, libérée des échos insistants d’une époque désormais révolue.

Crédit : jordansfield

Raphaël Delestre - en un mot : désespérant
uc.

Crédit : hyuneslix

Eliaz Caradec - un reflet du passé
Il y a quelque chose chez cet élève qu’elle peine à ignorer, une sensation qui ébranle son âme de manière bien singulière – une ressemblance avec son mari tant regretté. Ce même air curieux, rêveur et amusé, ces cheveux châtains et ondulés, toujours un appareil photo à la main… La vague de nostalgie pour des jours révolus devient particulièrement écrasante lorsqu’elle le voit ; une sensation qu’elle préfère éviter. C’est alors dès que possible qu’elle l’esquive, mais lorsqu’elle ne le peut pas, elle se retrouve avec Eliaz bien plus indulgente qu’il n’est raisonnable de l’être.

Crédit : livlaurennnn