Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Mar 18 Avr - 19:20
ELIAZ & PRYSHA
Draw me like one of your French girls
Le soleil d’été se prélassait entre deux nuages blancs duveteux et la douceur de l’air allégeait les pensées de Prysha qui avaient l’habitude de se faire trop souvent orageuses. Elle avait presque envie de fredonner, alors qu’elle trimbalait un carnet de croquis presque plus gros qu’elle et son matériel de peinture dangereusement coincé sous un bras. Les jardins étaient un de ses lieux favoris à l’école et ils étaient particulièrement beaux aujourd’hui, éclairés par une si belle lumière qui donnait à l’herbe une couleur dorée. Prysha se dit joyeusement qu’aujourd’hui avec une pareille luminosité, même Eliaz ne serait pas trop moche à dessiner. Elle avait reçu son invitation quelques jours plus tôt avec la même excitation et appréhension qu’à l’habitude. Ces rendez-vous la remplissaient de joie car elle pouvait alors créer librement et s’entraîner de façon rigoureuse avec un modèle plus ou moins coopératif, mais leurs personnalités (enfin surtout celle d’Eliaz.) (il est sacrement chiant.) finissaient bien souvent par leur faire se hurler dessus, et il fallait dire qu’il avait le don de lui faire oublier qu’elle était une demoiselle de bonne famille (et pas une lutteuse mexicaine en collant et slip à paillettes qui peut se permettre d’envoyer une descente de coude à son ami breton parce qu’il lui fait prendre une pose improbable pour la cinquantième fois en trente secondes).
Elle mit quelques minutes avant de le repérer, en train de se mirer dans la surface luisante de l’étang. Elle s’approcha à pas légers, son esprit (diabolique) s’activant involontairement à le voir ainsi accroupi devant l’eau calme. L’idée d’envoyer Narcisse junior rejoindre les petits poissons dans l’étang lui arracha un sourire radieux (bien que légèrement machiavélique) ( et absolument pas parce qu’elle était elle aussi heureuse de le voir.) (ça jamais.) (non.)
Sourire qui se fige immédiatement lorsqu’il la salue (comme s’ils avaient élevé les cochons ensemble). Prypry. Moins cinq points. Quand il arrivera à moins trente, elle commencera à lui dessiner un pif énorme, et un peu plus gros à chaque dessins, juste pour le voir paniquer à l’idée que son adorable nez puisse être devenu aussi monstrueux et disproportionné.
“Je t’en prie, appelle moi Prysha.” (c’est le même nombre de voyelle, crétin). Le sourire revient légèrement (et toujours pas parce qu’elle est heureuse de le retrouver. Et puis c’est Kamala son modèle préféré d’abord.) et elle enchaîne en penchant légèrement la tête sur le coté, sa tresse se balançant paresseusement dans son dos “Es-tu prêt, ou préfères-tu que je te laisse encore cinq minutes pour tenter d’entrer en communication avec tes amis les têtards?” Elle retient à peine un rire. “Ou peut-être frères têtards si on se base purement sur la ressemblance physique, ils doivent sans doute se demander où tu étais passé depuis tout ce temps”
Elle laisse tomber délicatement son matériel sur l’herbe, retrouvant une expression qu’elle croit digne et distinguée (non, toujours pas elle sourit toujours comme une belette enragée.) “Préfères-tu commencer à poser ou qu’on fasse les photographies d’abord?” Elle se mordis légèrement la lèvre, soucieuse. ”Peut-être qu’il vaudrait mieux que je commence à prendre la pose, la luminosité est sans doute optimale pour toi?”
Pando
Eliaz Caradec
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Jeu 20 Avr - 23:28
Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Mer 26 Avr - 23:03
ELIAZ & PRYSHA
Draw me like one of your French girls
Et si Eliaz avait réussi l’incroyable, l’exploi, le miracle, la meilleure chose qui ait été faite depuis que Jesus ait changé l’eau en vin, que le baton de Moise se soit transformé en serpent et qu’Eliaz ait pu sortir plus de deux phrases sans avoir l’air d’un parfait idiot (c’est faux, c’est jamais arrivé): faire sourire la cadette de Bhopal. Ce qui dura approximativement trente secondes, le temps record qu’il mit à l’affubler du surnom le plus horrible qu’elle n’ait jamais entendu. Pryshounette. Peut-etre que s'il elle lui faisait part de son propre surnom pour lui, il se calmerait un peu Elnaze Carabete. Un frisson de dégoût lui parcoura l'échine, comme si quelqu’un lui avait cassé un œuf sur le sommet du crâne ou justement fait couler une poignée d'œufs de batraciens sous le col de sa chemise. Elle était familière de la sensation, ayant passé des années à courir dans la vase des étangs, les poches pleines de tétards et de la boue jusque dans les cils, pourchassant la malheureuse victime qui avait la malchance d’etre la plus proche d’elle (en réalité elle savait tres bien qui la fameuse victime était le plus souvent, mais elle refusait d’y penser) (aucune pensée) (ou que des pensées pures) (majoritairement) (l’étrangler en beuglant étant l’une d’etre elle), lui hurlant d’embrasser la grenouille qu’elle tenait dans les mains, hilare, assurant qu’elle se changerait en princesse, s’il lui faisait juste un tout petit bisou. Ah si un jour on lui avait dit qu’elle en viendrait à vouloir se changer en crapaud… “Pfff, tu sais ce qu’on dit, Prysh : la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe.”
Elle roula des yeux, et exasperée (amusée aussi) elle repondit dans un souffle à peine audible “Une colombe bien dodue alors.” Hein? Quoi? Prysha n’a rien entendu et encore moins de remarque désobligeante. Mais Eliaz ne sembla pas trop s’en emouvoir et s’empara de son appareil photo enchanté et elle se prépara mentalement à la séance de torture medievale (les rats dans le seau qu’on faisait chauffer en moins) qui allait suivre en se placant sagement devant l’étang.“Tu serais merveilleuse, avec toute cette eau autour de toi. On pourrait presque croire que c'est ton élément”
“Oh mais je suis toujours merveilleuse Eliaz. Et figure toi que l’eau fait partie de mes élements, seulement, pas mon préféré. Mais nous pouvons faire un marché: si tu me veux en Ophélie et que je dois m’allonger dans l’eau pour satisfaire ta vision créative, tu devras venir avec moi. Hors de question de te priver d’une petite trempette. C’est bon pour le système immunitaire, et il fait chaud aujourd’hui…” En s’évantant d’une main, Prysha battit des cils, l’air diaboliquement innocent. Elle savait pertinement qu’Eliaz n’accepterait jamais de salir sa belle et proprette personne en plongeant dans l’eau stagnante de la marre. Mais elle pourrait gentiment l’aider? Cette idee qui commence à germer dans son esprit est captivante.
Mais sagement, elle défait sa natte, se crispant en pensant qu’il puisse essayer de toucher ses cheveux qui ondulent à force d'être ainsi maintenu en permanence. Elle prend la pause, se pliant (sans engouement) aux exigeances d’Eliaz, inclinant la tête, regardant au loin d’un air ténébreux et mystérieux (autant qu’une petite meringue en colère), tournant sur elle-même, fermant les yeux. Elle imagine cela comme une danse, lente, calme, gracieuse. Et très pénible. Il faut dire que le breton la fait vraiment se contorsioner dans des positions impossibles. “Au fait…Personne ne t’a demandé en mariage pendant les vacances ? Si tu as besoin de photos pour convaincre un éventuel prétendant… Tu sais à qui les demander !”
S’il pensait avoir vu son visage de constipée avant, c’était raté. Piquant un fard, ella serre les poings très fort, se sentant aussi impressionnante qu’un boursouf enragé. L’été avait été compliqué, entre la maladie de son dādā qui la rendait incroyablement inquiète (faux elle avait un coeur de pierre), les fiancailles de Kamala qui la troublaient (de marbre), son frère qui méritait les jetés de chaussures hebdomadaire qui finissaient toujours par se produire lorsqu’ils étaient obligés de passer du temps ensembles (de granit) et les lectures très stimulantes intellectuellement de la presse à scandale (de diamant même, taillé en forme de pic-a-glace qu’elle pourrait planter dans le ventre de tous les hommes stupides qui l’entouraient et qui ne comprenaient jamais rien a rien parce qu’ils étaient trop bêtes). Elle tente de conserver son ton poli et calme, mais le rouge lui a definitivement monté aux joues. Il lui deplait enormement de se faire rappeler qu’elle a d'énormes chances de finir vieille fille au train où vont les choses (oui, on est toujours melodramatique à 19 ans)
“Les prétendants font la queue jusqu’à Chamonix-Mont-Blanc. Tout le monde veut épouser une Comtesse, c’est bien connu. Surtout une aussi jolie et agréable que moi. Enfin Eliaz. Un peu de sérieux, voyons.”
L’idée qui avait germé plus tot semble éclore dans l’engrai fertile de son embarras. Elle continue de le regarder avec cet air qu’elle croit innocent mais qui hurle je vais faire une bêtise tellement fort, qu’elle s’etonne presque de ne pas le voir prendre ses jambes à son cou. Elle est même quasiment sûre que l’instinct de maman de Kamala s’est probablement reveillé flairant la sottise qu’elle s’apprete à commettre (même si l'instinct aimerait sans doute mieux renifler les caleçons d’une certaine personne de plus de 40 ans à l’heure actuelle). Rester concentrée sur l'idée. Distraire la cible.
“Et toi tu as passé un bon été? Un amour de vacances? Quelqu’un qui ne serait pas trop regardante sur…” Prysha gesticulla vaguement en direction d’Eliaz, le designant de la tête au pied. “ça. Une personne en mal de lunettes adaptées à sa vue peut-être?”
Silence. Action! Sa chaussure qui trampouillait innocemment dans l’eau se met à bouger, et d’un coup de pied magistral, elle éclabousse le pauvre Eliaz qui n’avait rien demandé à personne, esquivant adroitement l’appareil photo qu’il tenait au visage. Il faut dire qu’elle s’en veut un peu, mais pauser est vraiment si ennuyeux et une Prysha ennuyée, c’est une Prysha chaotique (comme un petit enfant de trois ans, mais en encore plus mignon et salissant)
“Oups! Mais que suis-je maladroite… Je suis navrée Eliaz, j'ai glissé...”
Elle est sure que ca fera une belle photo au moins. Non?
roll te dice baby:
: Dans le mille, plus 50 points, y a plus qu’a faire tomber la chemise : Resultat tiède, comme l’eau de l’étang qui les éclabousse tous les deux un petit peu : Plouf. L’arroseur arrosé, on a qu’a sortir les canards en plastique et les brassards, Prysha est allée rejoindre la maman des poissons dans la marre
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Mer 26 Avr - 23:03
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Lun 1 Mai - 23:11
❖ Prysha et Eliaz
Draw me like one of your French girls❦
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Spoiler:
Vert : La revanche est un plat qui se mange brûlant ! Prysha finit tout aussi mouillée que lui
Orange : La revanche est un plat qui se mange tiède ! En essayant d'éclabousser Prysha, Eliaz tombe avec elle dans l'étang
Rouge : La revanche est un plat qui se mange glacé ! Eliaz veut éclabousser Prysha mais il se vautre
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Lun 1 Mai - 23:11
Le membre 'Eliaz Caradec' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Jeu 11 Mai - 21:22
ELIAZ & PRYSHA
Draw me like one of your French girls
L'après-midi se déroulait plutôt paisiblement. C’est-à-dire que pour l’instant personne n’avait encore assommé personne à coups de pelle et les coups de sarcasme restaient encore raisonnés. C'était donc une belle après-midi. Prysha se pliait aux directives du breton de moyenne grâce, s'empêchant de souffler fort par le nez et de rouler des yeux comme un petit hippopotame énervé à chaque fois qu’il lui faisait prendre une nouvelle pose. Mademoiselle de Bhopal n’aimait pas vraiment suivre des ordres. Elle n’avait presque pas le temps de remarquer l’air idiot qu’il arborait en la photographiant(en même temps c’était un air on ne peut plus naturel sur son visage de doux abruti). Se mordant les lèvres, elle s'empêcha de sourire une nouvelle fois.
“C’est marrant, parce que je ne vois aucun prétendant planqué dans les buissons. Ou alors, ils sont très discrets…A moins que tes fameux admirateurs ne soient des nains de jardin ?”
Était-il trop tard pour demander une pelle? Son sourire se fit immédiatement la malle. Prysha dû faire appel à tout son (faux) calme, à ses années de cours intensifs d'étiquettes et surtout à sa croyance profonde qu’elle n’était absolument pas taillée pour faire de la prison (elle avait beaucoup trop de charme et de grâce pour se retrouver condamnée à porter un immonde uniforme de taularde) pour ne pas se mettre à vociférer que de toute façon le seul nain de jardin présent était l'espèce de babache photographique qui lui faisait face et que s’il ne changeait pas de ton, il irait sans doute voir les buissons de très près dans peu de temps. Rejettant ses cheveux en arrière et pointant le nez en l’air et agitant les mains d’un air agacé, elle prit une expression sévère
““Monsieur Caradec, vous savez très bien que mon rang exige une certaine discrétion. Je ne vais pas me mettre à batifoler dans les parcs entourée de mes prétendants enamourés. Tout le monde ne passe pas son temps à faire n’importe quoi dans les tavernes.”(tousse mauvaise foi tousse)
Mais l’affront du Carabête offrait une parfaite justification à sa fourberie aquatique. La politesse et la bienséance avaient des limites, et les limites avaient été dépassées à l'instant même où elle avait posé les yeux sur son visage de nigaud. Un petit peu d’eau n’avait jamais fait de mal à personne. Extrêmement satisfaite d’elle-même, elle battait des cils d’un air (absolument machiavélique) innocent en se trémoussant joyeusement, ravie de faire des bêtises, n’ayant que très peu de peine à étouffer la pointe de culpabilité qui lui piquait les côtes. C'était mal et elle le savait et les jeunes filles de bonne famille ne jouaient pas dans l’eau et ne prenaient pas autant de libertés et de ce fait ne s’amusaient jamais et restaient gentilles et sages et n'embêtaient pas de pauvres garçons candides. Mais l’expression d’Eliaz vallait bien de se sentir un peu coupable. On aurait dit un poisson lune, tout gonflé de colère ou bien même un crapaud buffle. Et d’ailleurs en un instant, il emprunta le buffle au crapaud et se mit à la charger en hurlant
“Tu n’aurais pas dû faire ça ! Un Caradec rend toujours les coups qu’il reçoit, tout le monde le sait ! ”
Elle avait oublié que bien que riche, il faisait tout de meme partie de la populace, et que les hommes de la populace n’avait aucun problème à tacler une gentille (non) demoiselle pour l’envoyer valser dans la vase. Les promeneurs dans le parc ont d’ailleurs certainement pu entendre à un kilomètre à la ronde l’alarme stridente de leurs cris(comme un iiiiiiiiiiiiiiiiiiiii très très aigu) qui retentirent lorsqu'ils s'entraînèrent mutuellement dans une chute inexorable en direction du lac. Heureusement pour elle, le breton amorti leur naufrage, ce qui l'empêcha d'être trop mouillée ou de se faire mal.
C'était décidé, Prysha n’avait pas besoin de pelle. Elle le noierait a mains nues (car à tout bien reflechir elle serait sans doute fabuleuse dans son habit de prisonnière). Rougissante de colère et d’embarras (elle n’avait aucune envie de se retrouver prisonnière des bras d’Eliaz) (une telle proximité, vous avez pensé au risque d’attraper des bébés?!) elle se débattit elle aussi pour se défaire de l’emprise du breton qui lui aggripait les bras sans ménagement et devait sans doute être en train d’avaler autant d’eau que de cheveux. Avec un dernier effort, elle le repoussa et s’assit sans ménagement dans le lac. Fichu pour fichu, tant pis pour sa jolie robe bleue à fleurs.
““Espèce de…. Espèce de… de… Vilain! J'espère que t’attraperas le tetanos!” hurla-t-elle en lui envoyant une poignée de vase dans les cheveux.
Ophélies de mes fesses, ils devaient sans doute plus ressembler aux monstres des marais qu’à de jolies rousses submergées. Honteuse, elle frappa l’eau du plat de la main, comme pour se libérer de sa culpabilité et de sa rage. Elle avait passé l'âge de patauger dans la gadoue et terrifier les garçons en les pourchassant avec des vers de terre, des limaces ou des grenouilles. Et elle savait très bien qu’Eliaz avait horreur de la saleté et que de se retrouver ainsi propulsé (meme si c’etait entièrement de sa faute à lui) (elle était absolument irréprochable) (en toutes circonstances) dans le lac était sans doute absolument horrifique pour lui. L’envie de l'étrangler était toujours présente, mais il restait son ami et elle savait qu’il fallait qu’elle le secoure ou il allait probablement piquer une énorme crise sous-marine et nous faire une apoplexie si on ne le sortait pas de là assez rapidement et que ses doigts se mettaient à friper. L’indienne se redressa et le tira sans ménagement et avec mauvaise humeur en dehors du lac.
“Vraiment Eliaz, tu n’as aucune tenue enfin. Il faut apprendre à te maîtriser, c'était une réaction complètement disproportionnée. Regarde toi, tu es couvert de boue.”
Comme si ce n'était pas elle qui lui en avait envoyé dans la figure une minute plus tôt. Extrêmement agacée, Prysha tira sa baguette et haussa les sourcils d’un air menaçant.
“Si tu veux te venger, essaie au moins de faire ça bien.”
Il méritait qu’elle lui fiche un peu la trouille. Au lieu de le changer en bolée enchantée, Prysha s’appliqua à lui jeter un sort nettoyant et séchant dont elle avait le secret qui lui ôta son apparence marécageuse.
“Voilà. Tu es toujours fâché?”(parce qu’elle, oui.)
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: Absolument sec, propre et beau comme un camion neuf. : It’s getting hot in here, la temperature monte d’un coup mais il reste trempé comme des chaussettes et la boue, ça colle. : Karcher 1.0: a defaut d'être sec, il est propre. Prysha lui envoie plein d'eau dans la figure
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Jeu 11 Mai - 21:22
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Sam 27 Mai - 20:12
❖ Prysha et Eliaz
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Spoiler:
Vert : ça marche, sortez le Champomy et les cotillons !
Orange : ça marche… un peu trop ? Prysha en perd ses chaussures.
Rouge : ça marche beaucoup trop (y a pas que les chaussures qui se barrent oskour)
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha) Sam 27 Mai - 20:12
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Sujet: Re: Draw me like one of your French girls (Prysha)