Parchemin d'identité

Histoire

Avertissement de contenu : présence dans la chronologie de dépression post-partum et suicide maternel, violences obstétricales (mère du personnage), deuil (vécue par le personnage), trouble du comportement alimentaire non diagnostiqué (vécue par le personnage).

21 mars 1930 – (0 an) - naissance de Shirin, enfant voulue du couple formé par Javed et Pari al-Farizi. Pour autant, les derniers mois de grossesse de Pari ont été particulièrement difficiles, obligée d’être alitée et l’accouchement a été difficile, Pari ayant vécu des violences obstétricales sévères.
Fin mai 1930 – (3 mois) - Pari ne se remet pas de cet accouchement et tombe dans une dépression post-partum. Sujette aux crises d’anxiété intense lorsqu’elle doit s’occuper de Shirin, Pari se sent dépassée par la petite vie de Shirin, pleure régulièrement et n’arrive pas à créer un lien d’attachement envers Shirin qu’elle délaisse. Les insomnies deviennent nombreuses. De son côté, Javed ne se rend compte de rien, travaillant alors beaucoup pour aspirer à devenir nébulien.
juin 1930 – (4 mois) - C’est finalement lorsqu’il se rend compte que Pari est dépressive et qu’elle délaisse de plus en plus Shirin, que Javed sent que sa femme lui échappe. Inquiet au plus haut point, il demande à ce que sa femme suive une évaluation psychologique et doit partager plus son temps avec Shirin. Pari commence à prendre un traitement médicamenteux de potions et suit un psychomage.
2 août 1930 – (6 mois) - Javed ne se rend pas compte que Pari a arrêté son traitement. Le 2 août 1930, Pari se suicide, laissant derrière elle une lettre ainsi qu’un bracelet qu’elle souhaite léguer à Shirin. Dévasté, Javed rapatrie le corps de sa femme en Iran. Malgré la proposition de la famille de Pari de prendre en charge Shirin, Javed refuse, se jetant corps et âme dans son travail et être également le plus présent pour Shirin. Une des tantes de Shirin, Naheed décide de venir s’occuper de sa nièce et émigre également en France.
1932 – (2 ans) - Shirin commence à ressentir des maux de tête quand elle touche des objets. Sa tante, Naheed, ne comprend pas immédiatement ce qui se passe. Javed, lui, ne met pas longtemps à comprendre que sa fille a son don. S’il est fier que sa fille soit sorcière, il doit maintenant lui apprendre à gérer cela. Malgré leurs efforts, Naheed et Javed constatent que c’est un calvaire de faire en sorte que Shirin garde ses gants en tant que bambin qui découvre le monde et est donc curieuse.
1938 – (8 ans) – Parce que Javed est sur le point de devenir influent chez les Clairstellance, il prend la décision d’envoyer Shirin avec Naheed en Iran pour que la petite fille fasse connaissance avec les siens, sa culture et surtout la culture de sa mère. Shirin y réside pendant 2 ans.
1938-1940 – Shiri découvre donc sa culture et fête pour la première fois son anniversaire le jour de Norouz. Comme le veut la tradition, elle rend visite à ses ancêtres, ses grands-parents mais aussi la tombe de sa mère pour la première fois. Elle commencera à poser des questions sur la femme qu’elle était et pourquoi elle est décédée. C’est lors de Norouz qu’elle découvre aussi la divination mais aussi le zoroastrisme (religion monothéiste endémique en Iran) et s’intéresse à la riche histoire du pays. Elle décide alors qu’elle a trouvé sa voie : elle souhaite devenir historienne en plus de devenir comme son père, une nébulienne.
1940 – (10 ans) – De retour en France, Shirin est de plus en plus curieuse concernant sa mère. Ayant bien compris que cette dernière était un sujet tabou dans sa famille en Iran, elle pose des questions à Javed. Javed décide de ne pas lui partager la totale vérité, trop traumatisé et culpabilisant de ce qu’il considère comme le plus gros échec de sa vie. Il dira donc à Shirin que sa mère est tombée malade et qu’elle est décédée des suites de cette maladie sans rentrer dans les détails. Ces explications suffisent à Shirin.
1943 – (13 ans) – Rentrée à Beauxbâtons. Lors de la Cérémonie, Shirin se voit aller dans l’élément du Feu sans grande surprise même si elle regrette un peu de ne pas être dans la maison de l’air. Lors du tronc commun, elle se montre être une élève studieuse et très éduquée mais souvent en décalage avec les traditions françaises. Souvent, l’Iran lui manque.
1947 – (17 ans) – A son dix-septième anniversaire, Javed prend la décision de donner à Shirin le bracelet léguer par sa mère. Pour autant, il fait promettre à Shirin de ne jamais toucher directement le bracelet de ses doigts. Confuse, Shirin promet mais pose de plus en plus de questions à son père. Malgré l’interdiction, elle décide de lever l’ambiguïté et finit par s’en saisir. Elle revit la scène de suicide de sa mère, les sentiments de dépression la saisissant de plein fouet. Dès lors, Shirin traumatisée refuse d’en parler à son père, en colère contre lui qu’il lui ait menti. Mais c’est surtout en colère contre elle-même et se demandant si la mort de sa mère n’est pas sa faute. Commence alors ses premières crises de TCA qu’elle parvient à dissimuler à son père.
1948 – (18 ans) – Rentrée en Arc de Spécialisation 1. Shirin essaie de continuer sa vie malgré les angoisses qui la saisissent en repensant à sa mère et luttant avec ses crises de TCA.
1949 – (19 ans) – C’est Naheed qui se rend compte de ce qui se passe. Shirin fait jurer à Naheed de ne pas prévenir son père et Naheed accepte à la seule condition que Shirin se fasse aider d’une quelconque façon. C’est dans la littérature et plus particulièrement la poésie qu’elle trouve son exutoire, se passionnant pour la littérature perse, noircissant des carnets entiers d’essais de poème. Refusant de se faire prendre en charge par un‧e psychomage, Shirin accepte que Naheed lui apprenne la danse iranienne devant ainsi sa thérapie. L’été qui suit, Shirin prend la décision de retourner en Iran tout l’été pendant les vacances scolaires. Elle a des hauts et des bas dans ses crises mais semble aller mieux à son retour. Elle refuse toujours de parler à son père de ce qu’elle a vu. Naheed pourtant accepte de répondre à ses questions.
1953 – (23 ans) – 2ème année en Arc de Spécialisation. Shirin lutte encore contre des crises de boulimie, notamment dans les mois qui suivent ou précèdent l’anniversaire de la mort de sa mère. Naheed lui enjoint de parler à son père mais pour l’instant Shirin refuse, détestant l’idée de causer de l’inquiétude à ce dernier et surtout de le décevoir. Elle se plonge plus que jamais dans ses études, seul véritable sens à sa vie qu’elle souhaite se donner.

Tout comme son ancêtre, Shirin possède de fortes connaissances en astronomie mais nomme les étoiles et termes spécifiques en arabe et persan. • parle couramment le français, l’iranien, sait lire le perse et l’arabe. • déteste la citrouille • possède toujours un carnet sur elle dans lequel elle met des pensées, des mots, crée ses poèmes, sorte de journal intime qu’elle balade tout le temps avec elle. • malgré le traumatisme, n’a jamais retiré le bracelet de sa mère. • ne sait pas nager. • maitrise la danse iranienne. Elle n’aime pour autant pas trop le montrer en général et peu de gens sont au courant. Elle s'est inscrite au club de danse de salon et aime bien ces rares moments où elle se sent à l'aise avec elle-même et son corps même si ce n'est pas de la danse iranienne. • porte toujours des gants pour protéger ses mains et éviter de lire des objets. En général, elle ne laisse personne prendre ses gants pour les lui donner. Elle les met du matin au soir et les remet tout de suite après s’être lavée. • ne tient pas l'alcool • son patronus prend la forme d'une gazelle de perse. • Si elle doit sentir l'odeur de l'amortentia, elle serait attirée par l'odeur de prune qui lui rappelle l'Iran, l'odeur des vieux livres qui lui évoque ses études et une odeur inconnue qui lui fait penser à de la cardamome. • son épouvantard prend la forme de son père lui disant que c'est de sa faute si sa mère est décédée et lui tourne le dos. • ses fleurs préférées sont les véroniques de Perse, qui aideraient à prédire la pluie. Elles s'ouvriraient au petit matin s'il fait beau temps et elles resteraient fermées en cas de pluie. • Du fait que son anniversaire tombe lors de Norouz et que la tradition iranienne veuille que l'on se refasse sa garde robe, Shirin change complètement de style d'une année à l'autre si bien qu'elle passe très souvent par beaucoup de looks différents, aimant expérimenter. La seule chose à laquelle elle ne touche pas sont ses cheveux, ses boucles qu'elle aimant particulièrement. Elle ne coupe qu'une fois par an ses cheveux. Elle aime par ailleurs les laisser libre et n'aime pas les attacher. • Possède un chat persan au poil blanc comme la neige répondant au prénom de Ali. Il est très possessif envers Shirin.

Pseudo & âge : guimauve, 28 ans Type de personnage : inventé,e Comment as-tu connu WLNBR ? on me l'a vendu    Crédits : avatar par vestae-vocivus, gif, autre

Bienvenue à Beauxbâtons

Me suis-je perdue dans la mythologie perse et iranienne pour mon plus grand plaisir grâce à toi ? Parfaitement Une belle illustration de l'intégration adroite et enrichissante d'une culture avec ce personnage tout en nuances !  

Félicitations, tu rejoins le groupe Feu !

Référencement : Te voilà à présent un(e) sorcier-ière à part entière de cette prestigieuse Académie et en tant que tel(le), nous t'invitons à vérifier que tes données ont bien été relevées parmi les listings.

Relations et évolution : De sorte à débuter ton aventure dans les meilleures conditions, pense à inaugurer ton carnet de personnage, te permettant de nouer des liens et de suivre son développement au cours du jeu.

Pigeons : Pour recevoir une correspondance épistolaire et échanger avec les autres résidants, le courrier est à ta disposition.

Points et monnaie : Tu trouveras par ce portoloin des informations sur toutes les spécificités que les points de vote et de RP ont à offrir sur le forum.

Sur ces quelques mots, il ne te reste à présent plus qu'à explorer cette majestueuse bâtisse pour que la magie puisse opérer !